9 septembre 2020 :
Le C.A. de l’ association, qui suit de près l’évolution du combat de M. Alain Cocq, publie le communiqué suivant :
» Encore une personne, M. Alain COCQ, qui alerte la société, les décideurs (politiques, médecins et jusqu’au Président de la République) sur l’inadaptation de la loi actuelle sur la fin de vie à prendre en compte la volonté de celui ou celle qui souhaite échapper à l’agonie des derniers instants.
Que demandait Alain COCQ ?
Il souhaitait mourir chez lui, entouré de ses proches et de ses amis, sereinement en absorbant « la pilule douce » (du pentobarbital).
Il ne souhaitait pas se rendre à l’étranger où sa demande aurait été bien sûr acceptée.
Suite au refus attendu du Président de la République s’appuyant sur l’état actuel de la loi Léonetti-Claeys, il a donc décidé d’arrêter l’alimentation et l’hydratation comme le lui permet cette loi.
Il souhaite, et ce sera son dernier combat, que grâce à la médiatisation des conditions de sa mort les responsables politiques s’emparent enfin de la légalisation «d’une aide active à mourir comme un soin terminal».
L’association Ultime Liberté soutient le courage du combat d’Alain Cocq et espère que sa médiatisation ouvrira enfin un débat public approfondi concernant la Liberté individuelle reconnue du choix de notre mort. »
( fin du communiqué )