Association pour la légalisation du suicide assisté et de l'euthanasie volontaire

ASSOCIATION

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L’ Association Ultime Liberté 


Déclaration à  la préfecture de Haute Marne le 23 octobre 2009

inscription au Journal Officiel le 5 décembre 2009

Cette association internationale a pour but d’obtenir la légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie volontaire.

Dans nos Statuts, l’ article 1 déclare notamment :

Conformément à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et aux nombreux textes juridiques internationaux définissant les droits de la personne humaine, l’association “Ultime Liberté” poursuit les objectifs suivants :

Obtenir pour toute personne capable la reconnaissance juridique de :

* la liberté de disposer de sa personne, de son corps, et de sa vie, et donc de se donner la mort
* la liberté de choisir le moment, le lieu et les modalités de sa mort reconnue par une loi incluant « le suicide assisté  » , ou l’euthanasie volontaire lorsque l’intéressé se trouve dans un état où il ne peut plus communiquer et qu’il a écrit ses directives anticipées,
* la facilité d’accès aux produits létaux dans des conditions de sécurité pour tous précisées dans le cadre d’une loi reconnaissant la liberté de la personne de se donner la mort.

Dans ces perspectives l’association propose une réflexion approfondie sur les modalités du suicide assisté, déjà en cours dans différents états.

Dans l’attente d’une loi plus respectueuse de la liberté humaine, l’association se propose d’encourager la création de réseaux d’entraide et de solidarité. C’est là un des objectifs majeurs de l’association : respecter le choix de fin vie de chacun, en utilisant tous les moyens légaux actuellement disponibles sur d’autres territoires que le territoire français.
Ces moyens mis en commun peuvent notamment consister en une aide matérielle (transports), financière, juridique, humaine, sociale, morale.

L’association s’interdit toute incitation au suicide et se propose, le cas échéant, de conseiller au demandeur une consultation médicale qui peut sembler nécessaire, ou encore de faciliter le recours aux soins palliatifs lorsqu’ils sont demandés par la personne.

POURQUOI, EN 2009, UNE NOUVELLE ASSOCIATION CONCERNANT LA FIN DE VIE ?