Association pour la légalisation du suicide assisté et de l'euthanasie volontaire

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Leçons de l’affaire Vincent Lambert :

Après sa mort, l’affaire Vincent Lambert appelle action et engagement

Analyses philosophiques

Outre le site de François Galichet déjà signalé, vous pouvez aussi suivre les analyses
de Nicolas BRINGER ( alias Jean LIBERTE ou Gabriel NONCRIS ) ….

Il développe une forme d’ “humanisme” qui, d’après lui, devrait conduire à la liberté de décider de vivre ou de mourir, au nom même d’une certaine “dignité” morale de l’ être humain. Si sa démarche peut être sur beaucoup de points proche de la mienne ( Armand Stroh ), de celle de François Galichet, ou de celle d’un nombre importants d’adhérents de l’ association Ultime Liberté, elle n’est pour autant qu’une des nombreuses versions des “justifications” philosophiques que chacun peut chercher à donner de sa décision personnelle d’être et de rester maître de son choix de continuer à vivre ou de mourir.


Écouter un extrait de son ouvrage : “Manifeste pour un droit au suicide indolore”

Une autre présentation plus récente de la position philosophique de Nicolas Bringer :

Disposer de sa vie, conférence philosophique en 10 gélules humanistes

Télécharger le texte de la conférence sur Scribd

Commentaire ( Armand Stroh ) :

A titre personnel, je ne pense pas qu’il soit possible de “démontrer” philosophiquement une telle position, mais que la thèse de la liberté morale du choix de mourir ( qui nous est commune ) repose elle-même sur un libre choix philosophique, dont la possibilité même est, par définition, librement posée par la personne qui effectue ce choix.
Elle ne peut donc être déduite d’une quelconque définition “a priori” de l’ “être humain” ou de l'”humanisme” … sauf pour ceux qui comme Nicolas Bringer font en fait ce libre choix philosophique de réduire la définition de l’ “être humain” ( comme “sujet transcendantal” à la manière kantienne ), à une telle position de “sujet moral”.
La principale objection que je ferai donc à cette démarche, est qu’elle identifie trop rapidement la notion d’ “être humain” ( et donc aussi celle d’ “humanisme”), avec la notion beaucoup plus générale d’un être ( existant aussi empiriquement comme organisation physique ) suffisamment conscient de sa situation existentielle pour pouvoir se poser la question de sa propre liberté … et y répondre par l’auto-position réflexive de la valeur intrinsèque de cette liberté.

Mais je développerai plus tard ma propre position philosophique à cet égard, qui diffère également de celle de François Galichet.

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