Créée en 2019, cette antenne regroupe désormais les adhérents de Seine Maritime ainsi que ceux de l’Eure.
Nombre d’adhérents en mai 2021 : 42
En attendant la constitution d’une antenne spécifique à Caen,
l’ Antenne de ROUEN / Normandie s’adresse à tous les adhérents de Normandie .
Nombre des adhérents de Normandie en avril 2022 : 90
Contact local : téléphone : 07 49 26 31 45
Contact mail : rouen@ultimeliberte.net
Prochaines réunions :
Chers adhérents de Normandie,
- Une réunion ouverte à tous est programmée le jeudi 9 juin 2022, de 14h à 16h,
à la salle multi activités du Pôle Simone Veil,
25 rue Lesueur , 76600 Le Havre.
Cette réunion se poursuivra de 16h à 17h30 entre adhérents de l’association.
- Une réunion est programmée le lundi 23 mai 2022 à 14h30
Salle St Jean Eudes
38 rue du Calvados
CAEN
L’ordre du jour prévoit les sujets suivants :
– Organisation et fonctionnement de l’association Ultime Liberté
– Création ou non d’une antenne sur le Calvados / vie de l’association sur le plan local
/ micro réseau solidaire
– Compte Rendu du séminaire informatique des 1er et 2 avril à Toulouse
– L’accompagnement
– Réflexions et actions avec les nouveaux députés
– Et bien sûr, toutes les questions que vous vous posez.
Contact téléphonique 07 49 26 31 45
contact Mail marie-pierre.capitaine@ultimeliberte.net
Anciennes réunions
le mardi 5 octobre 2021 de 14h à 17h
le jeudi 24 juin 2021 à 14h
Salle Micheline Ostermeyer 11 Avenue Pasteur, Mairie annexe Rouen
réunion, réservée aux adhérents,
le mardi 6 octobre 2020 , de 14h à 17 h
Salle Micheline Ostermeyer 11 avenue Pasteur
76000 ROUEN
Nous échangerons sur les actualités récentes avec la présence de Nathalie Andrews.
inscription préalable au 07 49 26 31 45
Dans les médias :
Article dans Paris-Normandie
Fin de vie : les militants de l’association Ultime liberté repartent au combat en Normandie
Il y a quelques mois, des seniors étaient perquisitionnés. Leur tort : avoir acheté un produit pour pouvoir se donner la mort.
Une situation que dénonce l’association Ultime Liberté, alors que de nouvelles demandes pour mourir dans la dignité remettent le débat sur la place publique.